Au XVIIe siècle, les cuisiniers des grandes maisons françaises
réinventent cette recette. Ils imaginent un boudin sans sang, à base de
porc, veau, volaille, lait et crème, beaucoup plus fin et adapté aux
palais aristocratiques.
Ainsi naît le boudin blanc moderne, véritable plat de prestige, apprécié
pour sa texture onctueuse et ses arômes délicats.